Qui es-tu ?

Khiméria Delaunay feat. with Kate Beckinsale

♦ Quelques Précisions ...

Age : 18 ans
Métier : études d'informatique, servante
Groupe : Humain
Particularités : génie en informatique, elle est capable d'infiltrer n'importe quel serveur.




♦ Racontes nous ton Histoire ...
6 décembre 2002
Un soupir, une attente. Après douze longues heures d’efforts, l’enfant est enfin née. Elle a quitté l’obscurité tiède et rassurante de son abri, son néant plein de sons étouffés, pour plonger vers la lumière. Elle ne comprend pas. Elle a froid, et la lumière crue de la clinique blesse ses yeux. Elle pousse un gémissement, mais ne crie pas. Une tape du médecin lui fait ouvrir la bouche et lancer une brève protestation contre ce traitement, et l’air entre à flot dans ses poumons. Puis elle se tait. Elle est fatiguée. Son cœur qui auparavant battait régulièrement se fait moins vif dans sa poitrine : lui aussi est fatigué. Des gens s’activent autour d’elle, des ombres floues se déplacent, mais elle n’en a cure. Sa respiration se fait plus heurtée, c’et difficile de vivre par soi-même. Elle gémit, quémandant une aide qui ne vient pas. Ils ne savent pas ce qu’elle a, elle devrait être en pleine forme, ils ne peuvent rien pour elle. Après l’avoir enroulée sommairement, une femme la tend à une autre, allongée, pâle. Cette femme lui lance un regard lourd de reproche que ne peut comprendre le nourrisson, et détourne la tête. Elle n’en veut pas. Cette femme ne veut pas, ou ne peut pas admettre, qu’elle a tant enduré pour donner naissance à une enfant faible, peut-être trop pour survivre. Mais d’autres bras la prennent, l’entourent de leur chaleur, et un cœur bat à côté du sien, lui donnant la mesure. Le sien, comme s’il n’attendant que ça, y calque son allure et adopte un rythme plus régulier. Au dessus d’elle, un homme pleure : il est Papa. La petite ouvre grand ses yeux : c’est la première et la dernière fois qu’elle verra son père pleurer. Maintenant elle n’a plus froid, et même si elle éprouve encore des difficultés à respirer, son cœur a cessé de faire des siennes. Après huit mois de grossesse seulement, sa mère l’a mise au monde prématurément et ne veut pas d’elle. Mais qu’importe, son père l’attend depuis huit longs mois déjà, et il la protège. Il lui donne un nom, qu’elle ne comprend pas. Lorsqu’une infirmière vient la réclamer pour la mettre en couveuse, Alec Delaunay lève sa fille à la hauteur de son visage et lui murmure tendrement : « A plus tard ma petite Khim. » Ces mots n’ont pas de sens pour elle, mais le ton lui plait. Cependant lorsqu’il la remet entre les mains de l’infirmière, la tournure des évènements commence à beaucoup moins lui plaire ; elle crie sa frustration et son désarroi, sa colère et sa peur d’être enlevée à ces bras protecteurs, mais déjà les battants de la porte se referment devant ce visage aimant qui lui sourit, confiant et heureux d’avoir maintenant dans sa vie une petite Khiméria, la chimère qui avait bien faillit disparaître en venant au monde.

2008
Blanc. Tout est d'une blancheur éclatante autours d'elle. Elle est allongée et ne sent pas son corps. Elle tente de bouger un bras, mais n'y arrive pas. Une main se pose doucement sur son front, et une voix qui lui est familière la rassure doucement. En tournant la tête elle aperçoit le visage défait de son père qui lui sourit. Alors la mémoire lui revient.

Elle était au bord du lac avec ses parents, et il faisait beau. Un homme qu'elle ne connaissait pas était arrivé. Il était très grand, et sa voix grave est effrayante. Très craintive depuis toute petite, le fillette se cache derrière son père, puis s'enfuit lorsqu'elle vit ce gros visage débonnaire s'approcher du sien en disant « Qu'elle est mignonne cette petite ! ». Elle s'éloigna suffisamment pour être hors de vue, mais pas trop pour que son Papa puisse facilement la retrouver. Un arbre étend paresseusement ses branches au dessus du lac. Elle n'a pas le droit de se baigner, car le soleil d'avril ne parvient pas encore à réchauffer l'eau de ses rayons, mais personne ne lui a interdit de grimper aux arbres au dessus. Elle commença alors son ascension, se laissant griser par l'intense impression de liberté d'être aussi haut. Arrivée à quelques mètres du sol, elle jette un coup d'œil en bas. En dessous de la branche, un mouvement dans l'eau l'attire. Insouciante quant aux craquements menaçants de la branche, elle s'avance, puis elle se sent tomber, sans avoir le temps de crier. A ce niveau, l'eau et peu profonde, et elle heurte violemment le sol. Elle ouvre la bouche pour appeler, mais l'eau s'y engouffre et cherche à l'étouffer. Sa vision se trouble, et à travers l'eau elle entend des cris, et voit des silhouettes qui courent dans sa direction. La première à l'atteindre est cet homme qu'elle ne connaissant pas. Il lui sort la tête de l'eau et lui parle, mais elle ne distingue que quelques mots. Maintenant il ne lui fait plus peur, il a l'air si gentil. Tout devient noir.

Cet homme, le dernier qu'elle a vu avant de perdre connaissance est aussi là. Elle lui sourit faiblement pour le remercier de son aide, puis cherche sa mère du regard. Elle n'est pas là. Les larmes montent aux yeux de la petite : pourquoi sa maman ne s'occupe jamais d'elle. Puis ses yeux reviennent vers son père : ce n'est pas si grave, pour compenser elle a le meilleur Papa au monde ! Elle enroule ses bras autours du coup d'Alec pour l'attirer à elle : elle l'aime plus que tout, son Papa.

Le soir, lorsqu'est enfin terminé le ballet incessant des médecins et infirmière, et que son père est parti en promettant de revenir le lendemain très tôt, elle ne parvient pas à trouver le sommeil. Elle décide donc de regarder la télévision. Sur l'écran s'affiche le titre du film : Entretien avec un vampire. Intriguée, elle décide de regarder. Au cours des deux heurs qui suivirent, la petite fut tour à tour terrorisée et séduite par le vampire Lestat. A la fin du film elle éteignit en prévoyant de se marier avec Lestat quand elle serais plus grande, mais de le rendre un peu plus gentil.

2010
Sur les genoux de son père, Khiméria, à présent âgée de sept ans, s’ennuyait ferme, le dit paternel regardant les informations de midi en sirotant un verre d’alcool. Rien de vraiment passionnant. La pluie battait à la fenêtre, interdisant toute possibilité de jeux en plein air, surtout qu’elle était encore en convalescence. Elle était restée une semaine clouée au lit avec une bonne grippe, et rêvait à présent de pouvoir retourner à l’école pour échapper à la monotonie qui finissait par la rendre folle. Tout à ses pensées, la petite fille n’entendit pas les dires de la jeune femme, à la télévision. De toute façon, ça ne devait avoir aucun intérêt, comme d’habitude. Sauf qu’Alec devint pâle comme un linge, puis cramoisi. Khiméria hésita entre éclater de rire et aller chercher un seau d’eau, mais avant d’avoir eut le temps de trancher, Alec bondit sur ses pieds et se mit à proférer menaces et insultes diverses et variées. Khim, ne comprenant vraiment pas ce qu’elle avait pu faire de mal, se retourna vers l’écran en quête d’explication, écran montrant la jeune femme de tout à l’heure, morte. Un cri angoissé lui échappa, tandis qu’elle reculait précipitamment, se prenant du même coup les pieds dans le tapi. Agenouillée par terre, elle se mit à sangloter, incapable de gérer l’angoisse qui montait en elle, pendant qu’un autre homme annonçait calmement qu’il ne s’agissait pas d’un canular, et que les vampires avaient bel et bien prit le contrôle du monde. De sombres images venues des quelques histoires racontées par des aînés friands d’histoires d’horreurs lui revinrent en mémoire, et les spasmes secouant ses épaules s’intensifièrent. Dans son dos, ses parents se disputaient, sans avoir l’idée d’éteindre la télévision. Alec voulait lutter contre ce qu’il nommait les sangsues, et Albane s’y opposait farouchement, prétextant que la petite en mourrait s’il venait à être tué. La perspective de perdre son père laissa Khiméria tétanisé. Voyant l’état dans lequel se trouvait sa fille, Alec s’approcha doucement et éteint la télévision avant de s’accroupir devant la fillette, prostrée, le visage appuyé sur le genoux. « Promet-moi que tu n’ira pas » furent les seuls mots qu’elle prononça. Sachant par avance qu’elle ne démordrait pas de son idée, il promit, ce qui eut pour effet de faire râler Albane sur le thème « Moi quand je dis quelque chose il s’en fiche, mais quand c’est mademoiselle, là c’est différent ! ». Il n’y prit pas garde et enlaça sa fille, encore secouée de pleurs que pour une raison qui la dépassait, elle ne parvenait pas à arrêté. Peut-être était-ce parce qu’elle pressentait que le destin avait irrémédiablement changé ce jour là, et que jamais sa belle ville de Chicago n’avait été moins sûre.

2018
Cela fait un bout de temps maintenant que la ville a pour maire un immortelle. Bizarrement, l'adolescente s'est presque fait à l'idée, et cela nourrit son imagination déjà bien fertile. Elle a depuis peu découvert les multiples possibilité qu'offre un ordinateur et s'en donne à coeur joie. Actuellement elle crée en jeu en ligne, dans lequels s'affrontent humains, vampire et loups garous. Raisonnablement inspiré de nombreuses fictions sur les êtres de la nuit, le jeu fait déjà un malheur sur le net, et elle n'en est pas peu fière. Bien que dubitatif sur le choix du sujet, Alec a volontiers reconnu le talent de sa fille, et lui a offert à l'occasion de ses quatorze ans un ordinateur portable qu 'elle ne quitte pour ainsi dire plus jamais. Une autre de ses activités, dont elle s'est bien gardée de révéler la teneur à son père, est la recherche sur les vampires. Grâce à quelques cours de l'un de ses amis, elle est à présent capable d'infiltrer n'importe quel serveur avec plus ou moins de difficultés, et d'en extraire les informations qui l'intéressent. Ainsi elle gagne de l'argent en bossant parfois pour des entreprises peu scrupuleuses, ou pirate le serveur principal de la ville pour en savoir plus sur le maire et ses acolytes. Pour le moment, aucun d'entre eux n'a jamais réussi à la bloquer ou à l'identifier, peu ont su repérer son intrusion. Ce petit jeu l'angoisse énormément, mais l'amuse également beaucoup car c'est le seul moyen qu 'elle possède pour rivaliser avec ces prédateurs.

2 décembre 2020
Elle marche dans une ruelle sombre, seule. Auparavant jamais elle ne l’aurait fait, mais actuellement ça lui semblait être la solution la plus sûre. « Joyeux anniversaire » songea-t-elle lugubrement. Elle aurait dû être avec ses amis en train de fêter l’évènement : 18 ans, ça n’arrive pas tous les jours. Mais voilà, elle n’avait vraiment pas la tête à ça. D’ailleurs, elle ne l’avait pas à grand-chose, et aurait presque préféré ne l’avoir à rien du tout. Seulement c’était impossible, à cause du contact glacé de l’arme dans sa main. Un 9mm semi-automatique chargé de balles en argent dissimulé dans la poche droite de son manteau. Elle se prit à rire, d’un rire sans joie, en réalisant combien cette précaution était futile. S’il prenait l’envie à un de ces buveurs de sang de la tuer, elle doutait sérieusement de ses capacités à l’en empêcher.
« Trop faible » murmura-t-elle. Les mots que lui avait jeté au visage sa chère et tendre mère. Sa mère… Elle tenta de se remémorer la dernière fois qu’elles s’étaient adressé la parole.

C’était une au deux semaine auparavant. Tout avait changé depuis. Quelques jours avant cette discussion, son père était parti un matin, comme chaque jour. Mais il avait déposé un message sur la table de la cuisine, écrivant qu’il était navré d’avoir à rompre sa promesse, mais que sa conscience lui interdisait de vivre tranquillement dans une ville peuplée d’assassins et dirigée par l’un d’entre eux. Folle d’inquiétude, elle avait alors séché les cours pour l’attendre. Mais il n’était pas revenu. Avec un peu de recul, elle se dit que c’était prévisible et qu’il n’avait même pas dû dépasser les gardes du corps. Mais du recul, elle n’en avait pas eût ce soir là, lorsque sa mère en rentrant avait découvert le mot et l’avait giflé pour n’avoir pas su retenir Alec. Le mépris d’Albane pour sa fille n’avait jamais vraiment cessé de grandir. Ce soir là, il atteignait son paroxysme. Après, le pire fut de ne pas pouvoir vraiment faire le deuil : officiellement il était un disparu, il ne serait déclaré mort que si on retrouvait son cadavre. Les autorités conclurent à une fuite, et abandonnèrent très vite les recherches. Khim, sachant très bien ce que son père avait voulu dire, perdit tout espoir de le revoir un jour. Mais chaque soir, elle ne pouvait s’empêcher de l’attendre. Et puis un jour, en rentrant de cours, elle avait eu cette fameuse et ultime conversation avec sa mère. Lorsqu’elle avait poussé la porte, elle avait entendu la voix de sa mère. Elle avait donc pénétré dans le salon, mais elle n’était pas la destinataire de ces mots. Albane était au téléphone, si absorbée qu’elle ne l’avait pas entendu venir. Elle négociait. Sur le coup, Khiméria s’était demandé ce qu’elle pouvait bien vendre. Elles n’avaient pas encore de problèmes d’argent, mais avec la disparition de son père cela n’allait pas tarder. D’ailleurs elle-même cherchait actuellement un emploi. Elle s’était donc assise, écoutant d’une oreille distraite. Lorsque sa mère mentionna les tarifs en vigueur dans les agences, de qualité et de docilité, elle eut un léger sursaut, pensant à ces vampires qui payaient parfois très cher pour obtenir un servant ou une servante humaine. Elle secoua la tête, chassant ces idées. Sa mère et elle n’avait pas toujours été en très bons termes, mais de là à la vendre, il y avait une marge ! Lorsqu’elle entendit sa mère déclarer « Elle ne sera pas forcément d’accord, mais ça ne devrait pas poser de problème » puis raccrocher avec un « Marché conclut, passez la cherchez quand vous voulez » le doute dans son esprit avait laissé place à une colère sourde. Lorsqu’Albane se retourna enfin, sa fille lui faisait face, tremblante de rage. Elle avait toujours été très craintive, mais se souvenait avec précision du sentiment d’aversion profonde qui avait balayé toutes se irrésolutions. Sa mère eut un mouvement de recul en l’apercevant, mais se reprit très vite.
« Tu comptais me le dire quand ? fulmina la jeune femme
-J’ai fait ce qu’il fallait. Répondit calmement sa mère
-Pour toi !
-Oui. Ton père voulait avoir un enfant, mais pas moi. Je n’ai pas l’intention d’assumer ses désirs après sa mort.
-Alors tu te débarrasse de moi en me vendant au premier venu ! Je suis majeure, je peux partir si c’est ce que tu veux !
-Non. Ce serait beaucoup trop simple. Je vais quitter la ville, et je veux être sûre que tu seras définitivement sortie de ma vie » Elle ajouta avec un sourire mauvais: « Comprend moi, je n'ai jamais supporté que tu sois heureuse pendant toutes ces années, lorsque ton père n'avait d'yeux que pour toi, maintenant qu'il n'est plus là je veux m'assurer que tu paye. Veux-tu connaître l'identité de la parsonne à qui tu appartient désormais ? »
Le sang de Khiméria ne fit qu'un tour tandis qu'elle hurlait un « Non » retentissait. Elle se précipita dans le bureau de son père, et pendant deux heurs fouilla de fond en comble jusqu'à trouver ce qu'elle cherchait : une arme. Sur le moment, elle s'était sentie invulnérable, c'était un peu son père qui la soutenait à travers ce revolver. Elle avait également pris la décision de dormir le jour, et de rester constamment mobile la nuit pour être plus difficilement localisable. En générale elle s'habillait en homme, pour tenter de déjouer toute tentative pour le retrouver. Et le jour, lorsqu'elle ne dormait pas, elle cherchait un nouvel appartement, pour couper définitivement les ponts avec sa mère.

« Voilà où j'en suis à présent. Pathétique. » Elle continua à déambuler sans but précis, et ne s'arrêterait pas avant le lever du soleil. Elle ignorait si ses précautions porteraient des fruits, ni pour combien de temps, mais ne pouvait se résoudre à mourir malgré sa répulsion à l'idée d'appartenir à quelqu'un. Elle n'était d'ailleurs pas complètement certaine d'en détester l'idée, ses sentiments à l'égard des vampires hésitant entre animosité, peur et fascination. Après tout, son père étant parti de jour, il avait probablement été tué par un garde humain, et non vampire. De là à appartenir à l'un d'entre eux... Difficile de s'y résoudre.




♦ Qui es-tu vraiment ?

Portrait moral : Craintive et discrète, Khiméria peut se montrer têtue et inébranlable dans ces résolutions, pourvues qu’elle soit certaine de ces dernière. Méprisée pendant toute son enfance par sa mère, elle se méfie de tous ce qui l’entoure, s’effarouche facilement et se braque encore plus ; gagner sa confiance est un objectif des plus difficiles à atteindre, sauf pour les plus chanceux. Ayant également passé pas mal de temps à l’hôpital à cause de sa santé fragile, elle se méfie encore plus des médecins qui à ses yeux sont des enquiquineurs justes bons à la clouer au lit pour un oui ou pour un non.
Peu observatrice, elle se laisse généralement guider par son instinct, qui à cause de sa faiblesse physique, la pousse à rester discrète tout en gardant les yeux et les oreilles grand ouverts. En revanche, lorsqu’elle est sur un ordinateur, son attitude change du tout au tout : sûre d’elle car n’ayant jamais rencontré quelqu’un l’égalant sur ce terrain, elle parvient à dépasser ses limites pour obtenir ce qu’elle désire. Elle est d’ailleurs appréciée pour ça au sein des entreprises peu scrupuleuses qui la payent pour des informations sur les entreprises concurrentes.
En dehors de l’informatique elle n’aime pas les prises de risques inconsidérées, ou en tous cas celles qui n’ont pas un but précis. Elle est prête à en prendre pour sa liberté, quoique pas prête à mourir pour autant. Il lui est d’autant plus difficile de savoir comment réagir face à sa nouvelle condition de servante vu qu’elle n’a pas encore décidé de son opinion à l’égard des vampires : leur vitesse et leur force l’ont toujours fascinée, leurs pouvoirs et leur régime alimentaire la mettent fortement mal à l’aise.

Description physique :Physiquement, Khiméria est loin de passer inaperçue pour qui sait observer. Ses yeux d’une couleur noisette permettent de lire facilement ses émotions, qu’en général elle ne laisse pas apparaître sur son visage fin, encadré de boucles brunes et soyeuses. Sa peau pâle et son corps élancé lui donnent un aspect fragile, accentué par sa petite taille (à peine 1m60). Il lui arrive de porter un peu de maquillage, car comme toutes les femmes, elle aime plaire. Lorsqu’elle se déplaçait en majeure partie le jour, elle aimait porter des couleurs vives, mais à présent elle tente de se fondre dans la masse la nuit, et ne porte plus que des vêtements de couleur sombre. Parfois même s’habille-t-elle en homme pour donner le change ou éveiller moins de suspicion dans certains quartiers.
Sa démarche féline lui permet de se déplacer en toute discrétion, elle est également dotée d’une agilité hors normes et d’une vitesse appréciable, bien que nullement comparable, à son grand dam, à celle des vampires. Cela étant dit, pour échapper à des humains dupés par son apparente fragilité, c’est plus que suffisant.



♦ Divers ...

Liens éventuels sur le forum (amis, ennemis, famille ...) :

De l'autre côté de l'écran ...

[list]Prénom ou Surnom :Anne
Sexe : F
Age :18 ans à quelques semaines près.
Comment avez-vous connu le forum ?Par une amie.
Des idées ou suggestions par rapport au forum ?Aucune, pour le moment.
Vos disponibilités pour poster: Tous les deux jours à peu près.
Les 3 Mots de passe présents dans le règlement: [ok by Katelyn]

La fiche est-elle terminée ?

Je crois bien...

Très bien. J'ai beaucoup aimé ta fiche. Quelques fautes par endroit mais rien de bien méchant. Je vais pouvoir te valider. Tu seras donc dans le groupe des humains et si tu finis par devenir servante on te changera de groupe ^^

Je t'invite donc à :
- Rencenser ton nom et prénom
- Recenser ton avatar
- Faire ta demande de métier et/ou de lieu de travail ou de rang tout simplement.
- Faire ta demande de Maître si tu désires en en trouver un
- Faire ta demande de logement

Si tu as la moindre question n'hésites surtout pas.

Bon Jeu

Bienvenue parmi nous jeune fille, au plaisir de te croiser en rp ^^

Bienvenue Miss et bon jeu à toi

Hello
Il faut vite que l'on Rp ensemble
ton "amie"

Bienvenue à toi future victime
Si tu cherches un maitre je peux toujours être ce maitre, à tes risques et périls ...

Merci à tous pour votre accueil !

Bienvenue à Chicago Khiméria

Bienvenue à toi, amuse toi bien !

Kate.... Hmmmmmmm....

Bref ! Jme reprend !

bienvenue parmi nous gente demoiselle ! J'espère que le maire ne vous fera pas trop souffrir...

Bienvenue ^-^

Et au passage: Karn tu le touche que sur Chicago le reste du temps 'l'est à moi

Plais-toi bien sur le fo' ^-^