Votre Personnage :

Nom : Stewart
Prénom : Ellen
Age : 21 ans
Métier : Aucun. Ellen aurait aimé faire les beaux arts, mais elle n'a pas eu l'occasion de faire de telles études.

Histoire :

~ San Fransisco, courte vie ~

Decembre 1999, à la veille du nouveau millénaire, un cri se faire entendre. Puis deux. Amanda Stewart en beuglant sa douleur donne naissance à une enfant qui n'a pas finit d'ouvrir sa bouche. Et voilà qu'Ellen balance sa première jérémiade aux yeux du monde, tandis qu'un médecin aux cheveux sans pellicules lui met une bonne claque sur le derrière.
La demoiselle est bien portante, sa mère encore mieux, elle sait qu'elle ne manquera de rien durant son séjour à la maternité puisqu'elle s'est faite le docteur qui la prend en charge. Le mari, lui, est à mille lieues de là, en train de pianoter sur un ordinateur, il a à peine regardé la petite, « encore une pisseuse » se dit-il. Misère, les femmes ne servent vraiment à rien. Pourquoi n'a-t-il pas eu de fils?
Plus tard Ellen saura faire un excellent doigt d'honneur à ce genre de pensées, mais pour l'heure, elle est bien trop occupée à pleurer toutes les larmes de son petit corps, ce médecin fou l'a enfermé dans une boite en plastique avec la ferme intention de l'y laisser rosir comme un poulet.
Du calme, c'est juste une couveuse, t'étais sensée naître en Fervrier 2000 Ellen, alors on te couve encore un peu et ta mère se repose. Elle est bien trop contente d'avoir éjecté ce truc pour commencer à retrouver sa ligne.

- Chéri?
- Ouai?
- On l'appelle comment?
- Fais comme tu veux, je m'en branle.

Amanda jette un oeil sur la table de nuit qui se trouve à côté de son lit d'hôpital. Il faut qu'elle trouve un nom sinon la gamine va se prénommer toute sa vie « 23h32 -31.12.1999-Stewart ». Son regard s'attarde sur un magasine ouvert à la page 6. Une écrivain à la mode y présente son tout nouveau bouquin érotique « Ellen l'insoumise ». Amanda se marre, vu le père et la vie que sa gamine va avoir, elle aura une belle jambe si elle porte bien son nom. Peu importe, elle trouve pas ça si moche et ça possède un certain côté distingué.

- Ellen ça te plait?
- Ouai ouai.
- Bienvenue dans ce monde de rêve, Ellen Stewart.

Et Amanda sourit jaune.

-|- Flash info. Un avion s'écrase en plein milieu de l'Atlantique Nord. On recherche encore les corps-|-

Le grand père d'Ellen, père de son père, Éteint la télévision et se tourne vers sa femme.

- Je t'avais dit qu'ils auraient dû emmener la gamine. Maintenant on se retrouve avec un enfant sur les bras et en plus c'est une fille.
- Charles, ce n'est qu'une enfant..
- La ferme. Justement, une gamine inutile, incapable d'être digne de mon héritage. Et elle sera sûrement aussi bête que sa mère, ma trainée de belle fille.

~ New York – Manhattan- Parce que c'est dur d'être une fille ~

Ellen grandit, lentement mais sûrement. Elle semble s'acharner à rester un nourrisson toute son existence. Peut-être a-t-elle déjà compris ce que la vie lui réserve une fois qu'il lui poussera des seins et un cerveau que personne ne voudra voir.
La haute société est non seulement cruelle entre ses membres, mais en plus elle n'est plus ce qu'elle était. Les femmes qui étaient autrefois fines manipulatrices d'époux riches et charnellement faibles, sont percées à jours. Les voilà retournées au rang de sous-merde. Une femme qui fait des affaires.. mais vous êtes dingue? Aller potiche, cache ton intelligence et montre nous tes bonnes manières.

L'école privée féminine de Constance Billard accueille l'unique petite dernière de Charles Stewart. Contre toute attente, Ellen se montre absolument intenable et bornée. Les règles ne lui plaisent pas, ses camarades non plus, et les garçons de l'école privée masculine de Vanclief encore moins. La demoiselle n'aime pas parler potins, à sept ans elle préfère grimper dans les arbres de la grande propriété familiale. Même si cela lui vaut cette saloperie de placard tout noir.
Charles Stewart la rappelle à l'ordre, teste les coups de ceinture, en voyant que le placard suffit juste à la faire paniquer mais ne l'empêche pas de récidiver. Il essaye aussi les claques, mais a tellement l'impression de se salir les mains qu'il retourne à la ceinture. Et Isabelle, sa femme, observe cette tournure avec un pincement aux lèvres, puisqu'elle ne sait plus faire que ça, nous supposerons qu'elle est triste pour Ellen, ça vaut mieux pour son image.

Dix ans à peine et le mètre 20 de joie de vivre et de bonne humeur se barre en courant à l'autre bout du parc de la résidence. Ellen sait qu'elle va encore tâter de la ceinture, et n'a aucune envie de s'y frotter. Voilà déjà plusieurs années que ça dure et ça commence à suffire. Manque de peau, la nouveau petit roi de la maison s'y est planqué pour trucider une espèce d'araignée qui n'a plus que trois pattes. Misère, ils sont vraiment atteints dans cette famille.
Carter n'est autre que le fils adoptif du vieux Stewart. Il a 14 ans, c'est un vrai monstre à l'image de Charles, et il est destiné à reprendre la fortune familiale. Malheureusement pour Ellen, il semble la préférer aux araignées.
Ce n'est que cinq minutes plus tard, le temps de traverser toute la propriété, et quelques cheveux en moins, que la petite demoiselle est ramenée au chef de maison par Stewart junior. Apparemment, Charles considère qu'être forcée à bouffer les restes de l'araignée est assez traumatisant. Pour une fois Ellen aura droit au placard, et juste au placard.

~ Vanclief et ses monstres – Parce que c'est dur d'être une femme ~

Slash BOUM. Nous voilà propulsés sept ans plus tard. Depuis trois ans, Carter a décidé d'arrêter de jouer avec les araignées. C'est un homme maintenant, et Charles en est fier, parce qu'il est à son image : Cupide, Vil, Méprisant et Con comme le truc qui lui sert d'entrejambe. Ellen est bien évidement la seule à penser la dernière caractéristique, mais ça n'en est pas moins la vérité.
Oh malheur, voilà qu'il lui a poussé une poitrine, un bon petit fessier et une cervelle. Bien qu'il ne lui soit demandé de cacher que la dernière, la jeune femme s'évertue à planquer tout ce qui fait d'elle une femme. Parce qu'elle est bien convaincue que Carter ne fera pas que regarder.
C'est comme les délicieux gâteaux exposés sur la table de la cuisine. Le cordon bleu a dit « pas touche » mais dans la tête de Carter, du moment que c'est en vue, c'est tout permis. Et en plus c'est vraiment, vraiment tentant.

Isabelle est morte, elle a fait un trop mauvais mélange entre le lexomil et le pur malt. Les funérailles étaient grandioses, surtout la photos d'elle représentant une femme heureuse, souriante, parfaite et.. hypocrite.

Ellen s'en moque, au moins elle n'aura plus à subir les foudres de Charles et les idées malsaines de Carter en voyant Isabelle faire comme si de rien n'était. Plus personne pour se cacher, les êtres seront tels qu'ils sont dans la maison. La demoiselle déteste cette hypocrisie ambiante qui règne dans la société.
Néanmoins Charles a trouvé une nouvelle présence féminine dans la bâtisse, il a engagé une espèce de nurse, mais pour jeune femme. Monique est ici pour apprendre à la petite rebelle de la famille une nouvelle tenue. Les manières, la façon de se la fermer avec un beau sourire, de tenir une maison (ou plutôt de commander le personnel), de trouver un homme riche et être sa potiche d'apparat. En bref, tout ce qui fait une parfaite dame de bonne famille.
Ellen n'apprécie guère, elle qui préfère toujours autant les arbres, le théâtre qu'elle pratique en cachette à Brooklyn et les chanteurs de rock du même bas quartier. Elle écoute vaguement tout ce qu'on a à lui enseigner, se prend des claques en pleine figure parce qu'elle ne se prend pas au sérieux, griffe Monique et manque de ce fait de lui crever un oeil, se fait carrément tabasser par Charles et s'enfuit par la fenêtre.

~ Le répit ~

Dan est un plutôt bon joueur de rock, du haut de ses 21 ans. Il est agréable, doux, malgré la musique « violente » qu'il joue. Il ne force Ellen en rien, la laisse vivre chez lui, son propre père lui ayant soufflé cette proposition. Il aime la voir dessiner ces blessures qu'elle ne veut raconter. Elle ne lui accorde que le droit d'imaginer le sens caché de ces corps de femmes étendus sur le sol, des portes de prison dont la pensée est aussi noire que le fusain qui les compose. Il regarde chaque jours les sourires faux qu'elle représente si bien sur le papier semi cartonné. Il essaye de deviner en douceur ce qui se cache derrière le sourire qu'Ellen ne peut afficher.
Les jours passent, il lui a trouvé un petit boulot de serveuse dans le café du coin de sa rue. Ellen s'est surprise à rire, franchement. Dan vient de l'embrasser. C'est son tout premier amour, alors qu'elle vient de fêter ses 19 ans. On dirait qu'il est le seul à être un homme digne de confiance. C'est comme si Daniel Brawn était le premier homme qu'elle rencontrait, un vrai, un bon, un doux, quelqu'un dont elle n'a pas peur.
Avec lui son caractère s'affirme sans crainte de coups, elle n'a pas non plus l'impression qu'il la dévisage au mauvais endroit, elle sait qu'il regarde droit dans ses yeux, qu'il veut savoir ce qui se cache derrière ce corps de femme. Il n'est pas innocent, il aimerait pouvoir aller au plus profond d'elle même lui aussi, mais il veut savoir ce qui se cache dans son coeur, dans sa tête, avant de voir ce qui se cache sous ses pulls trop larges.
Petit à petit Ellen se laisse aller, parfaitement confiante elle ose enfin découvrir ses jolies formes et mettre des vêtements saillants. Elle sait qu'elle n'a pas à craindre d'être le gâteau trop alléchant avec Dan. Il la trouve simplement belle, toute entière, et encore plus depuis qu'elle assume sa silhouette irrésistible sans crainte. Il aime cette assurance, ce qui fait d'elle une femme complète, Dan avait bien deviné que derrière ce nom de famille se cachait une véritable beauté, et non une enveloppe vide à exposer comme un trophée parmi les gens de sa société.

La jeune Stewart a 20 ans maintenant. Cela fait une année entière qu'elle vit chez Dan. Une année entière qu'elle a donné toute sa confiance à celui qu'elle semble aimer. Il est entré au plus profond d'elle, aussi bien dans son âme que dans son corps, il ne sait pas ce qui lui tire des larmes et des cauchemars la nuit, il ne sait rien de sa vie, il sait juste que c'est une perle, un charbon dont il a découvert l'avenir de diamant. Il écrit des chansons sur elle, pour elle, et Ellen rit, elle rit aux éclats comme jamais elle n'a pu le faire. Même serveuse dans un café, même dessinatrice inconnue et actrice de scène mitée. Elle rit.

~ Mieux vaut vivre dans une utopie – Le monde est sombre ~

Ellen rentre du vieux théâtre dans lequel elle s'évertue à jouer de toute son âme des rôles dans lesquels elle s'échappe de ses cauchemars. Sur la route elle se sent calme et sereine, Dan l'attend, le sourire l'attend. Depuis plus d'un an elle se plait dans un quotidien qui se veut routinier avec un plaisir non dissimulé. Elle n'a pas peur de ce qui l'attend en rentrant, elle n'a pas à craindre que le lendemain soit plus douloureux encore. Elle semble avoir oublié l'inquiétude journalière. L'insolence qui lui rendait la vie dure n'est plus un mal, son fort caractère ne fait que séduire plus encore le seul homme honnête qui partage son existence.
Un cauchemar vient saboter le joli tableau qui se peint dans l'esprit de la jeune femme. Carter Stewart a depuis peu pris l'habitude de chercher relation charnelle dans les bas quartier, bien trop blasé par l'attitude effarouchée des jeunes filles de bonne famille. Quelle bonne surprise d'y croiser une ancienne connaissance, petite brebis égarée de son bourreau natal dans les vertes prairies du bonheur et de la douceur.

Les minutes et les heures passent.
Ellen a le regard vide lorsqu'elle passe la porte du loft de Dan. Il ne la reconnaît plus, elle n'est même plus la femme blessée qu'il a connu au tout début. Elle est complètement vide, à mille lieues de là, réfugiée dans cette utopie qui n'est plus sa réalité.
Carter passe la porte à son tour et sourit méchamment. Dan est tellement choqué qu'il n'a même pas la force d'écraser son poing dans le visage assassin de celui qui vient en effet de tuer sa moitié, qui vient de la tuer de l'intérieur, une seconde fois, celle-ci définitive et qui expose son crime comme un trophée de plus.

~ Mon coeur n'est plus que l'agitation d'une veine par la peur. Je ne suis définitivement plus que ce gâteau appétissant, et plus que jamais ~

Ellen ne veut rien entendre. Malgré sa peur, elle est une femme maintenant, plus une enfant. Malgré son corps frêle elle peut se débattre, elle peut s'y opposer, elle peut refuser le destin qu'on semble lui accorder.
Charles a définitivement accepté l'idée qu'elle ne serait jamais bonne qu'à semer la honte sur sa famille, sur sa réputation, il a renoncé à en faire une femme de riche coincée et soumise.
Carter s'est amusé un temps avec Ellen, mais il a finit pas s'en lasser, les marques de ses ongles ne lui vont pas très bien.

« Tu voulais partir d'ici? Eh bah dégage, tu ne sers plus à rien. »


~ Chicago – Une femme ne vaut rien, une humaine encore moins ~

Ellen avait abandonné l'idée de retourner chez Dan. Après son dernier regard, elle avait très bien compris que plus rien ne serait pareil, inutile donc de chercher à retrouver un amour qui n'était plus là.
Un sac à dos sur l'épaule, une pochette à dessin dans la main, assez d'argent pour prendre le bus, la jeune femme décida de partir. Sa vingt et unième année se passerait à Chicago. Pourquoi? Ellen n'en savait même rien, changer de ville, peut importe laquelle, c'était tout ce qu'elle voulait.
Elle passa son temps à dessiner, exposant ses dessins sur les marches des grands bâtiments de la ville, quémandant une ou deux pièces, travaillant la nuit dans un hotel où elle pouvait être logée contre des travaux ménagers.

« C'est pas une vie »

C'était-elle dit un jour, alors qu'elle remballait ses feuilles et ses fusains sur le parvis d'une cathédrale. Occupée à grommeler contre sa pitoyable existence, elle ne vit pas venir deux hommes, tout vêtus de noirs, en silence.
Ils s'étaient placés chacun d'un côté de la jeune femme. Elle leva les yeux, puis les leva au ciel en continuant à remballer ses affaires.

« Euh les mecs, vous n'avez pas autre chose à foutre qu'essayer de faire flipper une artiste fauchée sur les marches d'une église? »

Pas de réponse, tant pis. Elle commença à descendre les marches, ils n'avaient pas bougé. Elle soupira d'un air blasé et continua son chemin vers sa chambre d'hôtel ou un balais et une serpillère l'attendaient déjà. Misère, et dire qu'outre les coups de ceinture, avant elle avait une vie de riche.

- Qu'est-ce que t'en dis?
- Pourquoi pas, elle est mignonne.

C'est lorsqu'elle vit les deux hommes à côté d'elle, qu'Ellen commença réellement à s'inquiéter. Pour une fois qu'elle avait laissé sa bombe lacrymogène dans sa chambre, banco.

« Ok vous vous êtes bien amusés, vous m'avez foutu les jetons, maintenant laissez moi rentrer chez moi d'accord? »

Oh que non ma jolie.
Tu vas nous suivre bien gentiment ou bien c'est dans le coffre qu'on t'emmène.

« Et m'emmener où? Eh mais, lâchez-moi! »

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Ellen se retrouva dans la voiture qui se trouvait à quelque pas de là, coincée entre les deux hommes. La voiture démarra sans qu'elle ne puisse dire autre chose, tout allait bien trop vite pour sa langue pourtant bien pendue.

- Tu as entendu parler de notre merveilleux sénateur..
- T'en fais pas, il ne mords pas.

Leur éclat de rire ne la fit pas du tout sourire.


Portrait moral (caractère , ...) :

Malgré tout ce qu'elle a pu vivre, Ellen est une jeune femme forte. Elle a réussi à se relever de tous ses maux, et ne retient pas non plus ses mots.
Bavarde, colérique, instable et insoumise, son fort caractère lui a toujours valu des ennuis, des réprimandes ou même des coups. Mais elle n'a jamais voulu être autrement.
La jeune femme considère qu'il vaut mieux vivre dans une utopie, plutôt que de regarder ce que le monde est devenu. Elle s'échappe alors en pensée, dès que la vie lui ôte le sourire, elle part vers un autre monde bien plus beau et le dessine au fusain.
Derrière toute femme se cache aussi une grande fragilité, et Ellen n'est pas une exception à la règle. Fort caractère, insolence et peur quasi inexistante, cache en vérité une grande sensibilité. Les mots qu'elle manie si bien ont trop tendance à la toucher. Aussi étrange que cela puisse paraître, elle ne craint pas la violence ou la colère des autres, elle est bien plus fragile face à la douceur, au calme, au silence qui la fait se questionner encore et encore. Trop habituée à subir les foudres des deux hommes de sa famille, elle se retrouve perdue et vulnérable face à qui sait manipuler une femme.
Partagée entre deux mondes, et entre deux facette de sa personnalité, voilà ce qu'est Ellen. Il y a cette femme pleine de fougue et de joie de vivre, malgré tout ce qu'elle a vécu. Ce caractère sans peurs, sans mœurs, sans restriction. Et cette femme fragile qui se cache derrière une carapace d'insolence, sensible, blessée.

Description physique :

D'une stature élancée, Ellen est une jeune fille mince mais juste assez musclée. Paraissant grande de par sa taille de guêpe, elle n'est pourtant que de taille moyenne, du moins ne se vente-t-elle pas de son mètre soixante-six comme d'une taille de girafe.
Menue, elle en est assez agile et sournoise. Souple, elle peut se servir de son corps comme d'un atout formidable aussi pour l'espionnage, la fuite, ou le.. corps à corps. Son agilité est sans doute un avantage palliant la force de mouche dont elle fait preuve.
Maintenant, en dehors de cette silhouette élancée et séduisante, on peut s'attarder sur ses cheveux auburn, aux reflets ambrés, parfois noirs. Souvent ondulés, parfois plus raides, ils descendent en cascades sur ses épaules. Ellen n'aime pas les attacher.
Des traits fin, un petit nez mutin, une bouche ni trop grosse ni trop petite, et des pommettes souvent rougies par sa trop grande habitude à réagir à ce qui la gène, la dérange, la met mal à l'aise ou en colère, par une douce chaleur envahissant ses joues d'embarra ou d'indignation. Lorsqu'elle sourit, son visage s'illumine d'un enthousiasme et d'un charisme encore plus frappant, et ses yeux s'emplissent d'une candeur des plus charmante, parfois d'un air sournois, rieur. Parfois on y lit aussi une certaines dureté, une souffrance, des regrets, ou de la haine, son regard s'évade alors, ou bien fixe le sol. Tout dépendra du moment, et de l'humeur.
Une taille de guêpe ais-je dit, oui, c'est cela, une taille de guêpe, suivie de hanches assez fines mais tout de même subtilement démarquées, et des jambes élancées, lui valant une allure longiligne et gracieuse.
Si l'on peut s'accorder sur le fait que ses parents ne l'avaient pas voulu, on peut aussi leur attribuer la qualité de faire les choses comme il faut, même sans volonté.


Liens éventuels sur le forum (amis, ennemis, famille ...) :

~ Propriété d'Edward Baldwin ~

Avatar choisi : Ashley Greene

HJ

Prénom : Pascaline (on n'a pas idée de donner un nom pareil à sa gosse -_-')
Sexe : C'est une fille!!
Age : D'après mon acte de naissance, j'ai 18 ans. Mais malgré mon hystérie visible, il se peut que j'en ai bien plus dans la tête. Il paraît.
Comment avez-vous connu le forum ? Par Ivan ^^
Des idées ou suggestions par rapport au forum ? Non, il me semble parfait ^^
Vos disponibilités pour poster: Jour, nuit, très souvent, mais pas toujours aux mêmes horaires.
Les 3 Mots de passe présents dans le règlement: Ok By Amanda

Et bien je n'ai pas grand chose à dire par rapport à ta fiche à part que je la trouve parfaitement et que je l'ai tout simplement dévorée.
Je te valide donc sans attendre.
Il ne te reste à présent plus qu'à :
- Rencenser ton nom et prénom
- Recenser ton avatar

Je souhaiterais aussi qu'Edward passe ici afin de confirmer votre lien et qu'il aille annoncer celui ci dans le sujet prévu à cet effet.
Je pourrais d'ailleurs t'attribuer un rang spécial (par exemple: "Servante d'Edward Baldwin") si tu le désire, il te suffira de le demander.

Bienvenue parmi nous et au plaisir de croiser ta plume au détour d'un rp

Merci beaucoup

Je vais de ce pas poster dans les sujets demandés.
Je serais ravie en effet d'avoir un rang comme celui-là (Si ça te dit Edward, d'avoir ta propriété bien définie )
à voir s'il préfère "Servante" ou "Propriété" moi j'opte pour la seconde ^^


Merci, et au plaisir de croiser ta plume moi aussi

Welcome home Ellen, J'accepte bien entendu ce lien, qui sera très lucratif...Pour moi . Je file de ce pas recenser ce lien

Je te l'ai déjà dit mais...Jolie fiche

De nouveau, merci.

Ravie d'être tienne, bien évidement.

(Ellen beaucoup moins, of course ^^)

Et bien tout semble en ordre maintenant, Edward dernier détail avant que je file donner attribué à rang à ta chère petite chose, es tu toi aussi d'accord sur le terme "propriété"?

Et oui je sais je suis une admin chiante mais que voulez vous vous ne me changerez pas aussi rapidement ^^

Comme tu le sais, je suis ravi de te voir ici ma belle. Très jolie fiche, mais ça n'est pas étonnant ^^
Et on dit merci qui heiinn ??? Merci tonton IVANNNN d'avoir proposé à Edward et tout le tralalala ... Ouais bon les fleurs sont gratuites aujourd'hui que voulez-vous ^^

Amuses toi bien chez nous

Cela ne me pose aucun soucis Amanda

Merci le maire le plus sexy du globe

Je suis vraiment ravie d'être ici, et un grand merci en effet, c'est grâce à toi si je suis là et entre les mains d'Edward (pour mon plus grand [dé] plaisir <3)

Bienvenue mamzelle!
Ashley Greene devient vachement demandée sur les forums RP's! un truc de dingues j'en vois partout

Merci!
C'est vrai, perso je ne le connaissais pas avant Twilight, mais c'est vraiment une très belle actrice!

Ivan a encore craqué à ce que je vois, tsss...

Bienvenue à toi, jolie fiche que j'ai lu d'une traite !
Au plaisir de te croiser

Oh! Ashley Greene!! Je l'adore cette actrice!

C'est normal que tu ne la connaissais pas avant Twilight, parce qu'elle était mannequin avant
D'ailleurs j'ai faillit la prendre, alors heureusement pour toi que je ne l'ai pas fait XD

Welcome! ^-^

Merci Katelyn, au plaisir aussi. et t'en fais pas j'irai pas te piquer ton maire, j'ai déjà trop à faire avec mon sénateur

Kimerley : Ah ok.. ben en tout cas je suis ravie que tu ne l'aies pas prise
Merci beaucoup =)

Bienvenue à toi future victime!

*recule de quelques pas et balance un "merci" de loin au prédateur*

Merci à toi ^^